A vos agendas !
« The Voice » c’est terminé, pas de match de l’OL, pas de coupe du monde, ni de rugby alors venez vous divertir avec nous à la Passerelle, le samedi 15 et le dimanche 16 juin (entrée gratuite).
Tout au long de la saison, les enfants et les ados ont travaillé pour vous présenter des pièces qui vous feront rire, sourire ou réfléchir mais qui, nous en sommes sûrs, ne vous laisseront pas indifférents.
Samedi 15 juin à 20h30 : « Le Malade Presqu’imaginaire »
Cette pièce, est une adaptation très libre de la célèbre comédie de Molière. Elle est le résultat d’un compromis entre une volonté de s’attaquer à un classique et le désir de notre groupe de lycéens de « s’éclater » en jouant.
L’intrigue, la structure et les personnages ont été conservés. Dans certaines scènes, le texte original est respecté au mot près. Dans d’autres, il est revisité par Lise, notre animatrice, qui à l’habitude de créer du « sur mesure » pour ces jeunes acteurs amateurs, attachants, drôles et talentueux, qu’elle encadre depuis de nombreuses années.
« Cendrillon ça ronfle » pièce de Lise Monnier
Cette pièce, écrite par Lise il y a quelques années et interprétée par le groupe des enfants est une comédie cinglante sur les contes et sur les princes charmants. Fini, les filles qui jouent à la poupée en attendant leur héros. Ici les princesses sont féministes, les belles-mères essayent de trucider leurs belles-filles et notre pauvre Cendrillon a bien du mal à succomber aux charmes de son prince, pas si charmant.
Nos comédiens ont entre 7 et 11 ans et certains d’entre eux montent sur scène pour la première fois
suivie de « Blouses Blanches et humour noir » pièce de Angélique Sutty
Angélique Sutty est un auteur contemporain de pièces pour enfants. Nous avons beaucoup aimé cet ensemble de saynètes, satires du milieu médical truffées d’humour noir. Notre groupe de collégiens, essentiellement masculin cette année, a dû faire un gros travail de composition. Pas facile, quand on est un jeune ado, de se mettre dans la peau d’une femme enceinte, d’une mamie délaissée ou d’un pensionnaire d’hôpital psychiatrique…et pourtant ils l’ont fait !
Tous ces jeunes se sont beaucoup investis et ont beaucoup progressé tout au long de l’année. Bien sur, comme tous les comédiens, ils ont le trac : ils ont eu peu de temps pour s’adapter à la salle, ils craignent de perdre leurs moyens, ils redoutent le trou de mémoire… mais si vous venez les encourager et les applaudir vous constaterez qu’ils savent très bien nous faire partager leur plaisir de jouer.
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